"Ô saisons, ô châteaux ... ", brouillon

c'est pour dire que ce n'est rien, la vie
voilà donc les saisons

 

xxx saisons, xxx châteaux, En marge, devant "saisons", et devant "châteaux" :
Où court où vole où coule
L' âme n' est pas sans défauts En marge, devant "L'âme" : Quelle
 

J'ai fait la magique étude
Du Bonheur, que nul n'élude.

Chaque nuit son coq gaulois

Au dessus du vers biffé :
Je suis à lui chaque fois
Si chante son coq gaulois.

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rien : plus d'envie
Il s'est chargé de ma vie

Ce charme ! il prit âme et corps
Et dispersa mes efforts En surcharge : Je me crois libre d'efforts

Quoi comprendre à ma parole
Il fait qu'elle fuie et vole

Oh ! si le malheur m'entraîne
Sa disgrâce m'est certaine

Il faut que son dédain, las !

Au dessus :
C'est pour moi
Au dessous : Soit pour moi
Me livre au plus prompt trépas

transcription d'après le fac-similé publié par Steve Murphy (Oeuvres complètes IV, Champion, 2002, p.175).

   légende:
   xxx : illisible
   C'est pour moi : biffé
   sur le manuscrit