Rimbaud, le poète > Invités / Sommaire |
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Invités |
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Verlaine, Valade et Mérat au dîner
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g L'édition originale d'Une saison en enfer, par Alain Oriol* (15/09/2023) :
Il y a cent cinquante ans, en septembre ou octobre 1873, Une saison en enfer,
le seul livre qu'ait pu faire imprimer Rimbaud, est sorti des presses
d’une coopérative ouvrière bruxelloise. Il n’en
existait pas jusqu'ici de fac-similé convenable.
C’est chose faite.
Nous avons fait imprimer à 500 exemplaires une édition semblable à
l'originale. __________
g Le compte rendu des Illuminations par Félix Fénéon dans Le Symboliste : « Un reclassement des Illuminations au miroir d'Alchimie du verbe », par Adrien Cavallaro* (18/12/2019)
__________ g Réponses à quelques remarques d'Yves Reboul, par Frédéric Thomas* (15/07/2019)
Le
12 juin dernier, Alain Bardel a mis en ligne
« Quelques remarques sur une lettre inédite de
Rimbaud à Andrieu » d’Yves Reboul. Celui-ci revient
sur l'intérêt de cette lettre, tout en
discutant certaines des affirmations de l’article
que je lui ai consacré dans le dernier numéro de
Parade sauvage. Il faut s’en réjouir tant cette
lettre étonnante appelle d’autres recherches,
permettant de poursuivre le débat. C’est aussi
l’occasion pour moi de nuancer et de préciser mon
propos. Les réponses synthétiques qui suivent se
basent sur un article à paraître dans le prochain
numéro de Parade sauvage, et se focalisent
plus particulièrement sur les remarques 4, 6 et 7
d'Yves Reboul. [...]
Suite
g Quelques remarques sur une lettre inédite de Rimbaud à Andrieu, par Yves Reboul* (12/06/2019)
La lettre inédite de Rimbaud publiée au début de cette année par
Frédéric Thomas et dont le destinataire était le polygraphe et Communeux Jules
Andrieu, alors exilé à Londres, est sans aucun doute un document de
toute première importance.
g Réponse à la note d'A. Bardel intitulée « Un adieu au drapeau ? », par Yves Reboul (réponse de l'auteur à la note de lecture sur l'article « Barbare ou l'œuvre finale », février 2010) [J’ai choisi dans le texte qui suit de reprendre un certain nombre de phrases de la note d’A. Bardel pour y répondre point par point] Une remarque générale, pour commencer : mon analyse repose largement sur un parallélisme entre Barbare et la fin d’Enfance, la posture du locuteur me paraissant identique dans les deux cas. Or A. Bardel n’en dit pas un mot : tenir compte de ce rapprochement avec Enfance aurait pourtant respecté la logique de mon argumentation et lui aurait évité en prime l’hypothèse absurde que je serais « à deux doigts de vouloir corriger le texte ». A deux doigts! Ce déni implicite me semble essentiel et révélateur.
On ne peut pas, il me semble, accepter un tel raisonnement. Je n’imagine évidemment pas qu’A. Bardel veuille réactiver les mondanités intellectuelles du temps des sixties, genre « le texte a le sens qu’on lui donne » etc. Néanmoins, il s’autorise là clairement à donner au poème un sens qui lui convienne, lequel à son tour entraîne le « sens symbolique » attribué au drapeau (le mot « dépend » dans sa phrase montrant bien la réalité de cette démarche). Suite
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Félix Régamey |
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