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06/11/2023 -
Laurent-Frédéric Bollée et Jean Dytar,
Les Illuminés, Delcourt.
11/09/2023 - Alain Vaillant, Une saison en enfer de Rimbaud ou le livre à « la prose de diamant », Honoré Champion, 2023.
09/09/2023 -
26/08/2023 - Arthur Rimbaud, Une saison en enfer, « Édition Anniversaire », Poésie/Gallimard. Préface de Yannick Haenel. Postface de Grégoire Beurier, Gallimard, 2023.
13/08/2023 -
Patti
09/06/2023 -
Rimbaud, Verlaine et Cie, « un devoir à
chercher ». À la mémoire de Yann Frémy
Octobre 2022 - Rimbaud vivant n°61
Mars 2022 -
RHLF,
Les Illuminations de Rimbaud "à tous les airs",
Dossier réuni par Adrien Cavallaro.
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01/11/2023 - À propos de l’album de Patti Smith, Une saison en enfer 1873 et autres poèmes (Bibliographie / Notes de lecture).
Paru chez Gallimard en septembre 2023, 176 grandes pages 25
x 32, exactement, le volume offre le texte intégral d’Une
saison en enfer, vingt poèmes, neuf lettres de Rimbaud à
sa famille, le tout accompagné d’une soixantaine de pages
d’illustrations, et six textes spécialement rédigés par
Patti Smith pour cette édition. Titre : Une saison en
enfer 1873 et autres poèmes. Ce qui, par parenthèse, a
l’air de présenter Une saison en enfer comme un poème
ou un recueil de poèmes, alors que Rimbaud, dans une lettre
de mai 1873, parle d’« histoires » (au pluriel) : de
« petites histoires en prose ». Mais Patti Smith n’est pas
la seule, hélas, à parler à tort de poème(s) à propos de
« la Saison » comme on l’appelle en raccourci. 15/09/2023 - L'édition originale d'Une saison en enfer, par Alain Oriol (Invités).
Il y a
cent cinquante ans, en septembre ou octobre 1873, Une saison en enfer,
le seul livre qu'ait pu faire imprimer Rimbaud, est sorti des presses
d’une coopérative ouvrière bruxelloise. Il n’en
existait pas jusqu'ici de fac-similé convenable.
C’est chose faite.
Nous avons fait imprimer à 500 exemplaires une édition semblable à
l'originale. 12/04/2023 - « L'énigme de “H” ». Note en marge de l'article de Gilles Lapointe, Parade sauvage n°33, 2022, p. 193-239 (Bibliographie / Notes de lecture).
Pour Gilles Lapointe, « Trouvez Hortense » doit s'entendre
comme « Cherchez Hugo ».
01/04/2023 - « Sur “Les Mains de Jeanne-Marie" », par Marc Dominicy, Parade sauvage n°33, 2022, (Bibliographie / Notes de lecture). Dans le teint « sombre » des mains de Jeanne-Marie, le poète voit le sceau de la belladone, plante de sorcellerie : le suc hallucinogène de ses baies noires « dort » dans ces veines, insoupçonné, mais « éclate » aux jours de révolte.
Les phrases suivantes sont interrogatives :
Jeanne-Marie est-elle de
ces femmes qui écartent des nectaires (des fleurs) les
mouches dont bourdonnent les
petits matins bleus, en quête des simples et des herbes officinales nécessaires à leurs
philtres ?
On vient d’apprendre le décès de Bruno Claisse, survenu le
29 octobre 2022. On lui doit, entre autres contributions
rimbaldiennes, notamment dans la revue Parade sauvage,
deux livres importants sur Les Illuminations :
Rimbaud ou « le dégagement rêvé » (Charleville-Mézières,
Musée-Bibliothèque Arthur Rimbaud, coll. « Bibliothèque
sauvage », 1990) et Les Illuminations et l’accession
au réel (Classiques Garnier, coll. « Études rimbaldiennes »,
2012).
L’article d’Yves Reboul « Corbeaux et mémoire du sang », récemment paru dans Parade sauvage n° 32, est remarquable par au moins deux aspects. D’une part, il présente une série d’intertextes très convaincants à l’appui d’une lecture politique des poèmes Les Corbeaux et La Rivière de Cassis. D’autre part, il expose au fil d’une argumentation érudite et serrée, une interprétation nouvelle du dernier sizain des Corbeaux, fort séduisante [...] Suite.
Après l'avoir un moment contestée, je me rends à la glose proposée par André Guyaux dans son édition de La Pléiade, concernant ce poème : Ce qui est “trop beau” (v. 5) ne devrait pas disparaître : la “Pêcheuse” et le “Corsaire” (v. 6), qui chante, incarnent cette nécessité de l'aurore. [1]. Mais
il manque un élément essentiel dans cette note trop
elliptique. On admet sans peine que la survenue de l'aurore
réponde à une « nécessité », quelle que soit la beauté de ce qui l'a
précédée, et qu'elle détruit. Mais en quoi Pêcheuse et Corsaire
sont-ils l'incarnation de cette nécessité ? Le glossateur,
visiblement, nous a laissé la responsabilité de compléter son
raisonnement. Eh bien ! essayons ! [...]
Suite. 15/11/2021 - Quelques signets dans Rimbaud de Clinchamps (Bibliographie / Notes de lecture).
Dans
Rimbaud de Clinchamps, Jean-Luc Steinmetz relève le défi
quelque peu oulipien de relire sa propre vie à travers les mots, les
formules, les situations, les confessions de Rimbaud dans Une
saison en enfer. Il se propose de vivre, dit-il, en compagnie de
ce livre intimement connu et vénéré, « une saison d'écriture
menée jusqu'au bout de moi-même » [...]
Suite
10/11/2021 - Sur l'entrée « Bonheur » du Dictionnaire Rimbaud / Alain Vaillant, 2021, p. 98-100 (Bibliographie / Notes de lecture).
. Au
centre de sa réflexion, Alain Vaillant place les deux
formulations légèrement distinctes de la maxime d'Alchimie du verbe : « [...] tous les
êtres ont une fatalité de bonheur ».
Il livre sur ce sujet controversé une synthèse claire, débouchant sur une
interprétation courageusement engagée de la clausule du
chapitre : « Cela s'est passé. Je sais aujourd'hui saluer la
beauté ». J'aurai une petite réserve concernant
l'argumentation d'Alain Vaillant mais, quant à sa
conclusion, je l'adopte tout entière et sans restriction
[...]
Suite
01/11/2021 - Le Père Goriot / Nuit de l'enfer (Florilège des sources).
Lorsqu'il signale l’épisode balzacien de l’agonie du Père
Goriot comme un modèle rhétorique susceptible d'avoir
intéressé Rimbaud, notamment dans Nuit de l'enfer,
C.-A. Hackett confesse « une certaine tristesse ». Il a
longtemps hésité, explique-t-il, à dévoiler au lecteur cette
source car « ce rapprochement soulève de nouveaux doutes à
l’égard de la sincérité de plusieurs passages d’Une
Saison en enfer […] peut-être un peu moins personnelle
et un peu plus littéraire que nous n’avions cru »
[...]
Suite 31/10/2021 - Sur l'interprétation d'Alchimie du verbe par Yann Frémy dans l'entrée Une saison en enfer du Dictionnaire Rimbaud, Classiques Garnier, 2021, p. 732-759 (Bibliographie / Notes de lecture). Est-ce le fait d'écrire pour un dictionnaire ou l'exercice d'un doute méthodique, Yann Frémy, dans son entrée Une saison en enfer du Dictionnaire Rimbaud, n'expose jamais une thèse sans indiquer la possibilité d'une solution différente, avec mention circonstanciée de ceux ou celles qui les défendent. D'où la richesse de l'article, sur le plan de l'information. On perçoit malgré tout assez bien le type d'approche obtenant sa préférence : celle qui décrit Rimbaud tournant sans fin dans son labyrinthe intérieur, sans en trouver l'issue [...] Suite
Yann Frémy a sous-titré l’un des recueils d’articles qu’il a dirigés : « Résistances d’Une saison en enfer ». De cette « résistance » herméneutique et de l’attrait qu’elle exerce sur les chercheurs, le volume récemment édité sous la direction d’Olivier Bivort, André Guyaux, Michel Murat et Yoshikazu Nakaji (Hermann, 2021), apporte une nouvelle preuve. Un bon tiers des dix-neuf articles rassemblés sont consacrés en tout ou en partie au livre de 1873 (contre un seul, par exemple, aux Illuminations). Je rends compte ici de trois de ces contributions : celles d’Éric Marty (« Mythe ou allégorie dans Une saison en enfer », p. 259-266), Yoshikazu Nakaji (« “Mon sort dépend de ce livre” : vie et art dans Une saison en enfer », p. 231-245) et Jean-Luc Steinmetz (« Rimbaud “mage ou ange” », p. 184-194) [...] Suite
Dans son entrée « Illuminations » (« Manuscrits ») du Dictionnaire
Rimbaud, comme je l'ai fait
remarquer dans mon compte rendu (05/03/2021), Michel
Murat ne discute pas l'argument n°1 en faveur d'une
pagination auctoriale des Illuminations, celui qui, personnellement,
entraîne mon
adhésion à cette thèse : l'argument fondé sur le processus
de constitution de la série Veillées. La question du
feuillet 18 ! J'y reviens ici, plus longuement.
[...] Suite
Tout est dans l’indéfini. Rimbaud dirige son éloge vers « une Raison » pour la distinguer de toutes celles que la tradition philosophique a appelées « la Raison ». En premier lieu, la Raison de Descartes et de la philosophie classique, raison confondue avec la Vérité du christianisme. Celle qui émerveille, dans sa naïveté, le « nègre » de Mauvais sang :
J'ai reçu au cœur le coup de la
grâce. Ah ! je ne l'avais pas prévu ! [...] 31/03/2021 - Sur une formule de Génie : « le brisement de la grâce croisée de violence nouvelle » (Anthologie commentée)
Les Illuminations,
selon Tzvetan Todorov, tournent le dos à toute représentation. Le recours
massif à l'abstraction, notamment, bloquerait chez le lecteur toute
possibilité d'identifier les êtres et les actions du texte. Les
termes abstraits sont effectivement omniprésents dans le recueil et Todorov n’a aucun
mal à en dresser une liste impressionnante. Que cet usage génère
des ambiguïtés,
c’est une évidence. Mais le critique objectif ne se contente pas de
noter l’obscurité — en l’exagérant beaucoup si possible — pour la
déplorer, il essaie d’en comprendre les raisons et d’en évaluer
la productivité sémantique et esthétique. [...]
Suite 11/03/2021 - Participes insolites des Illuminations. Sur la piste d'une exégèse pour le 4e alinéa de Scènes (Les Illuminations) Cela commence par une majuscule et cela finit par un point. Le seul verbe de la phrase est un participe présent. C'est l'une des scènes de Scènes :
La
plupart des commentateurs évitent de commenter et ceux
qui s'y risquent se contredisent. Je n'ai trouvé de tentatives de
traduction en langue courante que
chez Bruno Claisse, Pierre Brunel et Antoine Fongaro. Mais je résiste à la solution Claisse, consistant
à donner pour
sujet à « suivant » : « L'ancienne comédie », deux alinéas plus
haut, et à celle de Fongaro faisant de « suivant » une préposition,
qui rattacherait la phrase à « divise ses Idylles ».
Spontanément, je me rangerais plutôt derrière la prudente hypothèse
de Brunel : un implicite sujet « on ». Par ailleurs, est-ce dans les couloirs d'un théâtre ou
dans les rues d'une ville gagnée par la nuit que les choses se
passent ? Tout cela est bien
mystérieux ! Mais le plus mystérieux de tout, c'est cette phrase
bâtie autour d'un unique participe présent. Et ce n'est là qu'un
échantillon des insolites et fascinants participes des
Illuminations. [...]
Suite 06/03/2021 - Dictionnaire Rimbaud - Deux synthèses capitales sur Les Illuminations - II / « Herméneutique et poétique » par Adrien Cavallaro (Notes de lecture)
Dans l'étude
sur l'herméneutique et la poétique des Illuminations
qu'il insère dans le Dictionnaire Rimbaud des
Classiques Garnier, Adrien Cavallaro commence par dresser un
bilan critique de la tradition rimbaldienne. Il préconise
« la conjuration de tentations exégétiques
traditionnelles » et nous convie à « repousser les assauts
du démon de la
traduction, idéologique ou métaphysique, qui
fertilise sur le terreau des rapprochements autotextuels
internes (à l’échelle du recueil) et externes (à l’échelle
de l’œuvre) ». Puis, élargissant quelque peu la cible, il
appelle à « se défier des grilles de lecture doctrinales qui
pensent pouvoir « t[enir] le système» idéologique, comme des
scénarios critiques autotéliques anhistoriques ».
[...]
Suite 05/03/2021 - Dictionnaire Rimbaud - Deux synthèses capitales sur Les Illuminations - I / « Manuscrits » par Michel Murat (Notes de lecture)
Dans l'énorme et génial Dictionnaire Rimbaud
récemment publié aux éditions Classiques Garnier,
deux entrées
respectivement confiées à Michel Murat et Adrien Cavallaro sont
dédiées à la présentation d'ensemble des Illuminations. Celle de Murat,
« Manuscrits », occupe les pages 355-362. Celle de Cavallaro,
« Herméneutique et poétique », véritable essai qui
constitue, de loin, la plus longue notice du recueil, occupe
les pages 362-390. Ces deux importantes contributions
permettent de faire le point sur l'état présent des
connaissances et des opinions, en ce qui concerne le
recueil. Je rends compte ici de la première, où l'on
remarque quelques hypothèses nouvelles (émanant de l'auteur
ou avancées par d'autres, mais, dans tous les cas, validées,
validées en tant qu'hypothèses, ce qui est déjà beaucoup,
par son autorité). La seconde
viendra d'ici peu.
[...]
Suite 03/02/2021 - La phrase à rallonge de Promontoire (Anthologie commentée)
« Promontoire,
écrit Michel Murat, nous présente la construction la plus
extravagante du recueil » (2013, p. 282). Il ne fait aucun
doute qu'à première lecture, on s'égare dans ce poème
labyrinthique. Mais cette impression de
complexité a deux causes distinctes.
La première réside dans le caractère hétéroclite des énumérations, procédé destiné à faire
obstacle à
une représentation naïve et à provoquer la réflexion. La seconde
provient effectivement de la « construction »
syntaxique. Mais si la technique descriptive de
Rimbaud est « extravagante » (au sens où elle
divague de lieu en lieu et traverse le temps, des grands canaux de la Carthage
antique — qui n'ont jamais existé — à « la défense des côtes
modernes ») sa pratique syntaxique reste finalement
correcte. Même si, après une phrase initiale académique, il
s'amuse à en confectionner une seconde, interminable et
entortillée
[...]
Suite 26/01/2021 - Une note sur Nocturne vulgaire (Anthologie commentée) Aucune édition de Nocturne vulgaire ne reproduit fidèlement l'alignement à gauche du texte du poème, tel qu'on l'observe dans le manuscrit. Pierre Brunel (2004) fait apparaître quatre retraits avant tiret ; André Guyaux (2009) et Michel Murat (2013) n'en font apparaître aucun. Mais tous trois vont systématiquement à la ligne avant les quatre tirets correspondants. Autrement dit, ils sont unanimes à considérer que, comme l'écrit Guyaux, « le texte apparaît dans un paradigme de versets sans qu'on puisse déterminer l'alinéa. » (p. 969). Ils normalisent en conséquence la disposition du poème à partir de la phrase : « Ici, va-t-on siffler [...] ». Albert Henry (1998) proposait une autre solution. La discussion compliquée de ces problèmes de ponctuation serait d'ailleurs un peu byzantine si le choix opéré n'engageait parfois l'interprétation du texte. [...] Suite
Rimbaud, dans Vies, pour une fois, ne cache pas trop son jeu. Il pousse la complaisance jusqu’à indiquer sa principale source (ou cible) : « Je suis réellement d'outre-tombe, et pas de commissions. » (Vies III). Des emphases rimbaldiennes, il ne manque rien, en effet, dans la conclusion des Mémoires d’Outre-Tombe, là où Chateaubriand dresse le bilan de ses « trois carrières ». Ni le prophétisme apocalyptique : « Oui, la société périra … », ni l’égotisme exacerbé : « Des auteurs français de ma date, je suis quasi le seul qui ressemble à ses ouvrages : voyageur, soldat, publiciste, ministre …», ni la satisfaction de l'œuvre immense accomplie : « Grâce à l’exorbitance de mes années, mon monument est achevé ». L'unique trait par lequel Rimbaud s’élève au-dessus de son prédécesseur, c’est que le lieu de sa création est « cerné par l’Orient entier » quand Chateaubriand n'aperçoit l’Orient que dans la direction du soleil levant :
Ah ! Si ... ! J’allais oublier ! Rimbaud dépasse encore son modèle par un second trait, qui n’est pas dénué d’importance : lui, à vingt ans révolus, il est « réellement » d’outre-tombe. [...] Suite
Chacun
convient de la présence de thèmes récurrents dans Les
Illuminations. Et mon hypothèse est que Rimbaud,
lorsqu’il s’est attelé à la mise au net de son manuscrit, s’est aperçu que ces thèmes, idoinement combinés et ordonnés,
pouvaient évoquer un parcours de vie ressemblant au sien.
Quels sont ces thèmes ?
Dans le tableau ci-dessous, j’en propose
neuf : la méditation sur la vie, l'aventure poétique, le
nouvel amour & les nouveaux corps amoureux, l'entreprise
harmonique, de ville en villes, tableaux animés, scènes de
rêve, « Nos horreurs économiques », l'érotique de la force..[...]
Suite 11/01/2021 - Scènes (Anthologie commentée)
Scènes est un bon exemple de ces
« applications de calcul » par quoi Rimbaud définit dans Solde
son art poétique. Face à un texte aussi piégeux, où tout un arsenal
linguistique est déployé dans le noble but d'exercer l'ingéniosité du
lecteur, une part de subjectivité dans l'interprétation est inévitable.
Dans un article de 2013, Antoine Fongaro commente ainsi les « fantômes du futur luxe nocturne » de Vagabonds : Faut-il voir dans ce « luxe nocturne » la revanche imaginaire du vagabond pauvre que fut le jeune Rimbaud ? En tout cas, le syntagme « du futur luxe nocturne » ne révèle rien de ce qu’étaient les « fantômes » de la rêverie de Rimbaud. Bien plus, le troisième paragraphe commence par une sorte de dérision de la rêverie qui vient d’être si brièvement évoquée. [...] Suite
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15/11/2023 - Le manuscrit d'un poème de Rimbaud bientôt vendu aux enchères, France Bleu Chamapgne-Ardenne.
08/11/2023 -Arnaud Viviant, Foutez la paix à Arthur Rimbaud, France-inter. 06/11/2023 - Les Illuminés - Interview de Jean Dytar et Laurent-Frédéric Bollée, Delcourt. Louis-Henri de La Rochefoucauld, Patti Smith, une pseudo-poétesse devenue icône lucrative, L'Express, 01/11/2023.
Rencontre avec
Alain Bardel et Alain Oriol pour :
Une saison en
enfer, édition fac-similaire des 150 ans. Mardi 31
octobre, 18h, Librairie Ombres blanches, Toulouse.
18/04/2023 - François-Henri Désérable, « Mon maître et mon vainqueur », Conférence Les Amis de Rimbaud (vidéo, 56:58). 15/04/2023 - Jacques Bienvenu, Un nouveau commentaire sur l'article de Gilles Lapointe, blog "Rimbaud ivre". 17/09/2022 - Laure Egoroff, Arthur Rimbaud. Rumeurs et visions, émission "Samedi fiction", France-Culture (59 min.). 07/09/2022 - Les inventions d'inconnu, conférence de Yoshikazu NAKAJI au Collège de France le 6 avril 2016. 16/06/2022 - Mendel Péladeau-Houle, « Les Illuminations “dans l'affection et le bruit neufs” » (compte rendu de la RHLF de mars 2022), Fabula. 14/05/2022 - Mélanges Nakaji (en ligne sur le site de l'université de Tokyo)
29 janvier 2021 - Revue italienne d'études françaises n°11 : « Les traductions de Rimbaud », Fabula (les articles sont en ligne).
Novembre 2021 - Nieves Arribas et Olivier Bivort, Les traductions espagnoles d'Une saison en enfer à l'épreuve de l'oralté, Revue italienne d'études françaises. 31/10/2021 - Exposition : « Rimbaud - Ménélik », hôtel littéraire Arthur Rimbaud, Paris, du 25/11/2021 au 25/01/2022. 27/10/2021 - Charleville s'offre un portrait de Rimbaud du peintre Fernand Léger, L'Ardennais. 24/10/2021 - Exposition : Germain Nouveau, « le mendiant étincelant », par Alain Paire, La Marseillaise. 19/10/2021 - « Haji Jabir parle avec l'Abyssinienne de Rimbaud », par Nadia Haddaoui, Médiapart. 17/08/2021 - « Le poète illuminé, Germain Nouveau », film-annonce, ActuaLitté. 25/06/2021 - David Ducoffre, Sur les manuscrits des « Illuminations », un sort définitif fait ici à la pagination !!!, blog Enluminures (painted plates). 28/05/2021 - Sylvain Tesson parle de Rimbaud chez Radio-Classique (12:41). 15/05/2021 - Pouvoir : Dans les coulisses de la guerre sans merci autour de la panthonéisation de Rimbaud et Verlaine, Rédaction de Vanity Fair. 10/05/2021 - Frédéric Thomas, Un programme poétique pour la Commune de Paris, lundimatin#287. 12/04/2021 - Frédéric Thomas, Rimbaud à l'heure de la Commune, Libération. 07/04/2021 - Et à l'aurore..., captation et montage Christelle Pinet (vidéo, 6:43) 22/03/2021 - Jacques Bienvenu, Précisions sur la présence de Rimbaud et Germain Nouveau à Charleville en janvier 1875, blog Rimbaud ivre. 27/02/2021 -
David Ducoffre,
"N'oublie pas de chier sur le Dictionnaire Rimbaud si
tu le rencontres..." (partie 1 : contextualisation),
blog Enluminures (painted plates).
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